dimanche 5 avril 2009

FILOZOFIO











Aujourd’hui, je me suis promenée à Kyoto le long de l’allée des Philosophes en philosophant avec un philosophe, écrivain, traducteur, espérantophone émérite.

Le soleil brillait, c’est dimanche, donc une foule de gens se pressaient pour photographier les cerisiers en fleurs.

Le gag du jour : je raconte à Fujimoto Tatsuo san, le philosophe, que, dans mon village des Brenets, il y a une plaque qui commémore l’action d’Edouard Ducommun pour l’enseignement de l’espéranto. Je vois cette plaque depuis ma fenêtre quand je suis à la maison. J’ajoute en riant : Quand je serai morte, on mettra peut-être une plaque à ma maison : « Ici vécut Mireille Grosjean, …. » et le philosophe d’ajouter : On mettra plutôt : « Ĉi tie forestis Mirejo Grosjean, ĉar ŝi multe vojaĝis…. » (Ici Mireille Grosjean était absente, car elle était toujours en vadrouille….)




Hodiaŭ mi promenadis en Kyoto laŭ la filozofa aleo filozofante kun filozofo, verkisto, tradukisto, talenta esperantisto.

Brilis la suno, dimanĉas, konsekvence amaso da homoj venis por foti la florantajn ĉerizarbojn.

Jen la hodiaŭa ŝerco : mi rakontas al Fujimoto Tatsuo san la filozofo, ke en mia vilaĝo Les Brenets staras ŝildo pri Edouard Ducommun kaj ties instruado de Esperanto. Mi vidas tiun ŝildon, kiam mi hejmas. Mi aldonas ridante : Kiam mi mortos, eble oni metos ŝildon al mia domo: „Ĉi tie vivis Mireille Grosjean….“ kaj la filozofo aldonas: Oni metos eble: „Ĉi tie forestis Mirejo Grosjean, ĉar ŝi multe vojaĝis…. ».


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